Il en existe de nombreux types tous basés sur un tripode : par l'effet de levier on obtenait une élévation de la partie à soulever.
Celui-ci permet la reparation des roues des charrettes en soulevant sa caisse de dix à quinze centimètres, rendant possible le changement d'une roue.
Les roues en bois étaient l'élément fragile d'un véhicule hippomobile : souvent un rayon cassait et parfois le cerclage de fer se détachait.
Saviez vous que chaque diligence avait sa propre chèvre, rangée en longueur sous la caisse ?
Aujourd'hui on utilise un cric pour changer une roue.
Evidemment ce n'était pas Alphonsine qui utilisait la chèvre, mais ses taches comportaient la traite des chèvres...
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